C'est typiquement le genre de musique qui m'emporte dans le nirvana ... ça dépend ma Cousine du contexte , pas plus , pas moins . Pour moi , c'est un délicieux souvenir . J'avais méme ramené une K 7 ( ç'était l'époque ) que le DJ passait, quand j'arrivais avec Rebecca . Ca continue de m'émouvoir .... SADE est mélancolique , seuls ceux qui connaissent l'Afrique peuvent comprendre ( Bourrins exceptés ) .
REBECCA reste mon unique remord . Je l'ai quittée aprés 11 ans pour une "affairiste " , dont la seule vertue fut de me donner un magnifique garçon . Et ça .... je ne le regrette pas ! Ce qui prouve que de belles choses peuvent survenir de mauvaises affaires . Et qu'on peut étre aussi " trés moche " en ne voulant pas l'étre ... ! Complexité de l'Humain .
On apprend à vivre avec nos culpabilités Papatton - nos remords sont insuffisants et inefficaces. Alors, soit on continue, soit on essaie de renouer avec "l'avant". Il y a toujours un moyen - souvent cela ne fait qu'empirer les choses, une autre réalité que celle convoitée et espérée s'installe dans toute son horreur, mais parfois...
C'est un choix qui ne peut être que personnel : les regrets et le chagrin ou le courage de la vérité. L'un est tristesse certes, mais quotidien sans gros problèmes, l'autre est risque, inconnu, remise en question...
Rebecca est une sorte de leitmotif d'une récurrence fréquente chez vous. Retourner aux sources pourrait être une solution, à moins que vous ne préfériez l'idéalisation éternelle à une possible (probable ?) désillusion...
Surprenant.... je préfére l'idéalisation ... en effet , il y a gros à parier que ce serait décevant de se revoir , et je manquerai de courage pour expliquer ma disparition soudaine de sa vie . Si elle vit encore ? Quand je reviendrai là bas - car j'y reviendrai- je ne chercherai pas à la revoir , mais je me renseignerai , ça c'est sur . Encore qu'en Afrique , c'est difficile de rester incognito !
9 commentaires:
Nouvelle tentative d'insertion de cette magnifique chanson de Sade ! Une princesse ! Pour SALIOU ...." Number ONE " . Cotonou 1986...!
C'est typiquement le genre de musique qui me rend triste à mourir et me fait fuir.
Très mal à l'aise. Sans doute un problème karmique.
juresemper disent les lettres, serait-ce un début de piste ?
C'est typiquement le genre de musique qui m'emporte dans le nirvana ... ça dépend ma Cousine du contexte , pas plus , pas moins . Pour moi , c'est un délicieux souvenir . J'avais méme ramené une K 7 ( ç'était l'époque ) que le DJ passait, quand j'arrivais avec Rebecca . Ca continue de m'émouvoir .... SADE est mélancolique , seuls ceux qui connaissent l'Afrique peuvent comprendre ( Bourrins exceptés ) .
Il y a sûrement une explication, mais je ne relie à aucun évènement.
Mes parents adoraient le jazz et ce genre de musique, d'ailleurs, mon père écoutait beaucoup Sade.
Ils ont du se restreindre car toute petite, je devenais nerveuse et je pleurais au bout de quelques mesures.
Clash disent les lettres.
REBECCA reste mon unique remord . Je l'ai quittée aprés 11 ans pour une "affairiste " , dont la seule vertue fut de me donner un magnifique garçon . Et ça .... je ne le regrette pas ! Ce qui prouve que de belles choses peuvent survenir de mauvaises affaires . Et qu'on peut étre aussi " trés moche " en ne voulant pas l'étre ... ! Complexité de l'Humain .
Prie pour elle, ça ne peut pas lui faire de mal.
Elle porte la lumière en elle.
On apprend à vivre avec nos culpabilités Papatton - nos remords sont insuffisants et inefficaces. Alors, soit on continue, soit on essaie de renouer avec "l'avant". Il y a toujours un moyen - souvent cela ne fait qu'empirer les choses, une autre réalité que celle convoitée et espérée s'installe dans toute son horreur, mais parfois...
C'est un choix qui ne peut être que personnel : les regrets et le chagrin ou le courage de la vérité. L'un est tristesse certes, mais quotidien sans gros problèmes, l'autre est risque, inconnu, remise en question...
Rebecca est une sorte de leitmotif d'une récurrence fréquente chez vous. Retourner aux sources pourrait être une solution, à moins que vous ne préfériez l'idéalisation éternelle à une possible (probable ?) désillusion...
Surprenant.... je préfére l'idéalisation ... en effet , il y a gros à parier que ce serait décevant de se revoir , et je manquerai de courage pour expliquer ma disparition soudaine de sa vie . Si elle vit encore ? Quand je reviendrai là bas - car j'y reviendrai- je ne chercherai pas à la revoir , mais je me renseignerai , ça c'est sur . Encore qu'en Afrique , c'est difficile de rester incognito !
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