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vendredi 1 mai 2009

Histoire d'un Naif et d'un Lévantin .

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Le carnet d’or de Samir Traboulsi

Samir Traboulsi, figure emblématique des grands intermédiaires entre la France et les pays arabes, s’interroge : "A partir de quel montant une commission devient-elle amorale ? Les juges ne peuvent répondre à cette question.
dimanche 1er mai 2005.
Lui que beaucoup pensaient oublié s’étonne d’être de nouveau poursuivi par la justice française pour une affaire de versements douteux entre le groupe Elf et le Nigeria. Il jette un coup d’oeil inquiet sur les deux téléphones portables posés à ses côtés. De la main, il effleure ce carnet d’adresses en cuir noir auquel il doit tout ou partie de sa fortune. D’une page à l’autre, on y découvre les noms de Silvio Berlusconi, de membres de l’entourage de MM. Charles Pasqua et Jean-Christophe Mitterrand, mais aussi de dirigeants de pays du Proche et Moyen-Orient ou encore de riches industriels américains et de nombreux artistes. Beaucoup sont venus dans son hôtel particulier londonien aux allures de musée d’art moderne qui abrite l’une des plus belles collections du fauvisme au monde. Dans ses bureaux et appartements parisiens, M. Traboulsi possède bien d’autres oeuvres qu’il prête régulièrement aux musées.

Mais cet environnement de choix ne soulage pas son agacement face à ses tourments judiciaires. Le juge d’instruction parisien Renaud Van Ruymbeke, qui lui reproche d’avoir perçu 16 millions de dollars, en 1996, lors d’une négociation entre Elf et le Nigeria, tente de connaître l’origine de sa fortune. "En 1996, le groupe pétrolier Elf a fait appel à moi pour débloquer le dossier Nigeria, un point c’est tout" , explique M. Traboulsi, mis en examen pour "complicité et recel d’abus de biens sociaux" .

Soucieux de lever le voile sur le trésor de guerre accumulé depuis trente ans par M. Traboulsi, le juge a déjà obtenu la coopération du Luxembourg puis de Guernesey. A elle seule, l’île anglo-normande abrite plusieurs dizaines de millions de dollars appartenant à l’intermédiaire. Après trois ans de résistance, ce dernier a accepté, début mars, que ses comptes helvétiques soient transmis au juge Van Ruymbeke qui, dans cette affaire, cherche à débusquer d’éventuelles rétro-commissions au sein d’un virement global de 30 millions de dollars. "Les juges français font de la morale et pas du droit" , s’insurge Samir Traboulsi en regardant son passé judiciaire. Il pensait pourtant en être quitte avec la justice française. Condamné, en 1994, pour "indiscrétions" lors du rachat d’une société américaine par Pechiney, il avait également été relaxé pour des manipulations boursières suspectes sur le titre de la Société générale.

Né au Liban, en 1938, dans une famille de commerçants aisés, cet homme aux ressources infinies a découvert Paris au début des années 1960. Etudiant en droit, il se détourne vite de ses études pour devenir l’une des coqueluches de la nuit parisienne. On le croise Chez Régine, au Privé, rue de Ponthieu, ou dans les cercles de jeu. Il étoffe son carnet d’adresses. Le jeune homme a du charme, de l’entregent, un sens aigu des faiblesses humaines. Son ambition : s’inviter dans la cour des grands, celle du commerce international et de la haute finance. L’un de ses meilleurs soutiens, la comtesse Jacqueline de Ribes, l’introduit dans le monde des affaires, de l’administration et de la politique. Convié aux dîners de la comtesse, le jeune Libanais y apparaît gauche mais il apprend vite.

Samir Traboulsi devient le confident de bien d’autres dames en vue : la première épouse du président indonésien, Achmed Sukarno, celle du producteur Eddy Barclay ou encore la soeur du chah d’Iran. Il convainc même l’actrice italienne Gina Lollobrigida de l’accompagner à Beyrouth. Son arrivée en Mercedes cabriolet rouge, au bras de cette célébrité, marquera les esprits.

Si ambitieux soit-il, le milieu des affaires lui est encore fermé. Le 17 juillet 1968, la chambre de commerce de Paris lui refuse la carte de commerçant, jugeant très imprécis son projet d’"interface entre la France et le Proche-Orient" . Un an plus tard, il tente vainement d’entrer en contact avec une société française d’armement sous le regard inquiet de la structure qui deviendra plus tard la délégation générale pour l’armement (DGA). Les liens qu’il affirme entretenir avec certains ministres du général de Gaulle n’y changeront rien. Traboulsi bute sur des projets sans lendemain lancés à la faveur de relations mondaines.

Sa chance se nomme Adnan Kashoggi. Fils du médecin personnel du roi saoudien Ibn Saoud, Kashoggi règne sur les relations commerciales entre l’Arabie saoudite et le reste de la planète. M. Traboulsi tente de le convaincre des bienfaits d’une association. "Après l’avoir invité chez Taillevent -un grand restaurant parisien-, se souvient M. Traboulsi, je lui ai lancé : à part l’argent, vous n’avez rien. Moi, j’ai tout sauf l’argent. Je vous organise un dîner avec Aristote Onassis chez Maxim’s." Pour mener à bien ce projet un peu fou ­ réunir à la même table deux des plus grandes figures des affaires internationales ­, Samir Traboulsi mise sur l’aide de la fille de l’armateur, Christina Onassis. Celle-ci intercède auprès de son père, qui, amusé, accepte. Le jeune Libanais a réussi son coup de bluff. L’heure est à la redistribution des cartes sur le marché des intermédiaires de l’armement, où les commissions sont souvent considérables. Jusqu’en 1971, les frères Raoul et André Matossian, installés en Egypte, étaient en effet les principaux liens entre les pays arabes et la France. Mais la politique d’ouverture du général de Gaulle à l’égard du monde arabe a changé la donne dans la région. L’achat de 200 à 300 chars français AMX30, en 1971, par l’Arabie saoudite en sera le symbole. Les frères Matossian sont écartés par Adnan Kashoggi, qui entend conserver son monopole avec les Saoudiens, brusquement enrichis par l’envolée des cours du pétrole. De 1971 à 1975, plus de 25 milliards de francs de contrats d’armement sont signés entre la France et l’Arabie saoudite. Les commissions versées à Adnan Kashoggi et à son collaborateur, Akkram Ojjeh, atteignent 10 %.

Samir Traboulsi, qui assure avoir joué un rôle dans cette transaction, réclame sa part mais il est éconduit par ses partenaires. Ceux-ci ne voient en lui qu’un pourvoyeur de "plaisirs" , comme le rappelle au Monde M. Kashoggi, rencontré dans un grand hôtel parisien. M. Traboulsi rétorque qu’il n’a rien reçu parce qu’il est chrétien et non musulman. Cet épisode rappelle surtout qu’il est entré dans les affaires par la petite porte, celle de l’intendant chargé des tâches ingrates. Son art d’organiser les "plaisirs" des riches princes arabes le rend malgré tout indispensable. Tout en restant à l’écart des grands contrats, il est un acteur à part entière du système.

Cercles de jeux, spectacles, restaurants ou discothèques, à Paris comme sur la Côte d’Azur, au cours des années 1970, M. Traboulsi a partout ses entrées, et souvent ses intérêts. Certains casinos ne lui versent-ils pas des fonds pour qu’il puisse jouer avec ses hôtes ? Tous les jeudis, il organise chez lui des dîners très courus. Il dépanne aussi financièrement qui en a besoin. Un journaliste le remboursera au moyen d’un tableau dont la valeur dépasse largement celle du prêt. Adnan Kashoggi lui-même le sollicitera avant de le dédommager avec un Picasso ­ ce qu’il semble regretter aujourd’hui.

La police française, pour sa part, n’a jamais perdu la trace de ce séducteur flamboyant. Le 15 septembre 1969, il faisait déjà l’objet d’une opposition à résider en France. Sa fiche comportait deux mentions : "R" pour "refoulement" et "SI" pour "sans intervention" ; ce qui signifiait qu’à chacun de ses passages à la frontière, les policiers devaient solliciter l’avis du ministère de l’intérieur afin de connaître la position à adopter. En clair, le personnage sentait le soufre mais il rendait des services à la France en facilitant certains contacts commerciaux.

Le 16 décembre 1976, M. Traboulsi est l’objet d’une tentative d’assassinat. Menacé par un homme armé, dans la cour de son immeuble, il est contraint d’ouvrir son appartement avant d’être attaché à un radiateur. Après avoir ouvert le coffre-fort, l’agresseur place son arme dans la bouche de Samir Traboulsi et tire. Par chance, la balle traverse la joue et le laisse en vie. Qu’y avait-il dans ce coffre ? M. Traboulsi lâchera seulement qu’on en voulait à son argent. Il ne portera jamais plainte.

Malgré ce climat, Samir Traboulsi poursuit ses activités d’intermédiaire, toujours en quête de nouvelles relations. En 1981, il se rapproche ainsi d’Alain Gomez, nouveau patron de Thomson, dont il devient, en 1987, conseiller à l’exportation. M. Gomez le recommande même auprès d’Elf, affirmant qu’il a joué un rôle-clé lors de la vente du système de télécommunication militaire Rita. Ce que contestent, aujourd’hui, certains cadres de Thomson à l’origine du projet. L’avocat de M. Gomez, Me Roland Poynard, a indiqué que son client ne désirait pas s’exprimer.

Au début 1980, Samir Traboulsi est l’un des lieutenants d’Akkram Ojjeh, lequel deviendra bientôt l’unique lien entre les Français et les Saoudiens. Il organise des soirées dans l’hôtel particulier d’Ojjeh à Paris. Au sous-sol, les invités assistent à des spectacles offerts par des naïades évoluant dans une piscine surmontée d’une cascade d’eau. Un ancien directeur du ministère des finances se souvient avoir reçu, quelques semaines après l’une de ces soirées, un courrier de M. Ojjeh sollicitant, avec succès, un permis de non-résident ­ lui permettant de ne pas payer d’impôts sur le territoire français.

Les liens entre MM. Traboulsi et Kashoggi se sont alors distendus. Les Français jugent Kashoggi improductif et cher. En 1984, le patron de la Sofresa (mandataire officiel du gouvernement français), Jean-Claude Sompairac, qui centralise les exportations d’armement vers l’Arabie saoudite, et Gérald Cauvin, directeur chez Thomson, organisent la mise à l’écart de M. Kashoggi dans les bureaux de Samir Traboulsi. "Tu dois cesser de polluer les contrats français" , explique ce dernier à celui qui fut pourtant son parrain. Kashoggi, en pleurs, signe sa reddition contre une dernière commission.

A l’écoute de cette version, M. Kashoggi, un demi-sourire aux lèvres, nuance : "Contrairement à ce récit, les Français n’ont jamais utilisé un seul intermédiaire. C’était d’ailleurs leur handicap, ils multipliaient les canaux. Quant à Samir, je lui ai donné son premier contrat sans rien prendre dessus, il me doit beaucoup."

A cette époque, Samir Traboulsi attire le tout-Paris. Un jour, il invite une partie du gouvernement socialiste pour un déjeuner préparé par trois grands chefs. Un autre jour, en 1986, le ministre de la culture, Jack Lang, milite auprès de l’Elysée pour que la Légion d’honneur lui soit attribuée. MM. Pasqua, Gomez ou François Léotard applaudissent à cette décision. Jean-Luc Lagardère se félicitera souvent d’avoir résisté aux tentations du personnage. Ce ne fut pas le cas de Pierre Bérégovoy.

"Samir" , comme le désignent ceux qui le connaissent, est entré dans le cercle de l’Elysée, notamment, par le biais de M. Bérégovoy. Il a invité l’épouse de ce dernier à Milan, pour une soirée d’opéra ; il conviera Alain Boublil, directeur de cabinet de M. Bérégovoy, sur son yacht, mêlant habilement sphère professionnelle et personnelle. Dans l’affaire Pechiney, en 1988, la cour d’appel leur reprochera cette proximité. M. Traboulsi est condamné à deux ans de prison, dont un ferme. M. Boublil rappelle aujourd’hui au Monde que les mérites de ce dernier étaient, à l’époque, vantés par des personnes très honorables, et qu’il n’avait, pour sa part, jamais confondu ses affaires privées avec celles de l’Etat.

"Si j’ai été condamné dans ce dossier, c’est que je n’ai pas été professionnel jusqu’au bout" , commente M. Traboulsi. Pour lui, la justice est un acteur parmi d’autres, dans un monde aux règles mouvantes. Les magistrats l’ont vu tour à tour charmeur, leur proposant son avion pour se rendre au Luxembourg dans le cadre de l’enquête Pechiney ; fuyant, en excipant un passeport diplomatique dominicain pour tenter d’échapper à son procès ; ou influent, lorsqu’il dîne, la veille des réquisitions du parquet, avec la conseillère justice de François Mitterrand.

Désormais installé à Londres, où la justice ménage les intermédiaires, Samir Traboulsi retisse sa toile. "Le milieu londonien est plus international, et les riches Anglais sont moins sensibles aux charmes latins, mais il y arrivera, c’est une machine à séduire" , glisse l’un de ses vieux amis. "Je veux que l’on me laisse tranquille" , affirme, pour sa part, l’intéressé.

Par Jacques Follorou, lemonde.fr

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54 commentaires:

patton a dit…

Comme beaucoup de Lévantins : " de l'entregent , et le sens des faiblesses humaines " ... séducteur pour les naifs ... éblouissant pour les crétins ...

patton a dit…

On ne dine pas avec le Diable , méme avec une longue cuillére . On a eu des naifs-crétins dans notre beau pays . certains sont en retraite .

patton a dit…

Et ça , c'est plus sérieux que les élucubrations des Zinzin du WTC . C'est du vécu ...de l'intérieur .

patton a dit…

RITA dixit .

patton a dit…

Chére COUSINE , si ce post ne me vaut pas une série d'intimidations musclées ...; c'est que nous sommes bien dans une Démocratie libertaire . contrairement à ce que tu veux nous faire croire . Mais , moi , je sais de quoi je parle , quand je parle .

krn a dit…

"Mais , moi , je sais de quoi je parle , quand je parle ."

Alors, prouve-le.

krn a dit…

Et je trouve insultant que les centaines d'heures de physique statique et cinématique, de thermique et d'accoustique et de résistance des matériaux qui sont la base de l'enseignement de l'art de construire puissent se comparer à un aimable divertissement superflu et fantaisiste, comme je l'indique dans mon dernier article.

Rien ne t'autorise à douter de la compétence des enseignants de ces matières qui m'ont délivré les unités de valeur correspondantes.
L'école d'Architecture ne dépendait pas de l'Education Nationale mais des Affaires Culturelles, les professeurs y étaient tous des techniciens en exercice titulaires de nombreuses capacités et excellant dans leur domaine.
On ne construit pas des bâtiments censés abriter des milliers de personnes avec du bla-bla.

Cette non-reconnaissance s'assimile à du harcèlement moral et à de la calomnie. Dans le monde du travail, c'est sévèrement puni.

Pour en revenir à ton histoire, fort longue, pénible et écoeurante, j'avais déjà une mauvaise opinion de ces gens, mais là, c'est carrément du dégoût. Je vomis la corruption, elle me fait horreur. Je pense que celui qui se fait payer demande de l'argent pour compenser son manque de richesse intérieure. Plus il en manque, plus il en demande.
Bien sûr, ces gens sont au-dessus des lois... dégoûtant, à chier.

patton a dit…

Je ne suis pas certain que tu aies compris ma parabole ? ni les conclusions à en tirer , spécialement sur le caractére inévitable des fuites ... ne serait ce que par des fanfarons , ou des magistrats opiniatres . A propos , qui est propriétaire de " l'appart" de frére Jacques ? Pourquoi Mitterrand avait il autant de Lévantins dans les cabinets ministériels - à double nationalité - Et y en a encore ...

krn a dit…

Il y en a, des fuites.
Les fuites ont besoin des médias pour les relayer faute de quoi, c'est comme prêcher dans le désert.
Ce n'est pas une preuve matérielle et acceptable.

Lola se llama la luna a dit…

C'est le cancan des connards
qui, sortant de leur trou noir,
clabaudent sur tous les tons :
"Ah, que c'est bon d'être con !"


Soit dit en passant, mon bicornu pero est très honnoré d'apprendre que ses connaissances en physique et autres matières sont à peine d'un niveau de sixième.
Occasion d'une bonne crise de rigolade, assez rare venant de lui, mais faut c'ki faut, compte tenu des circonstances...

Pss'ke les questions de mécaniques des solides, des fluides ou des liquides, de résistances aux échelons micro ou macro, de la thermique et termo dynamique compliqué de quelques équations bien senties de chimie fondamentale (et des explosifs divers et variés), ça faisait partie de son boulot trian-train de tous les jours.

Bon, Papatton, si on parlait de choses sérieuses et pas connes ?
De CUL, par exemple ?
Pas de con.
Le cul, c'est pas con.
Encore que le con, c'est pas mal non plus.
Le CUL, c'est sain et je dirais même que c'est indispensable. Vital. Comme le con.
Je viens de saucer le(s) mien(s) dans un bain. Et vous (enfin, pas le con, s'pas, et pour cause) ?

patton a dit…

Ta logique ? .... m'échappe complétement .

patton a dit…

Celle de Lola me parait ...plus....fondée ....

Lola se llama la luna a dit…

ousine, des gens comme Traboulsi n'existent que par leurs semblables. J'ai rencontré Adnam Cach, un charmeur brillant, cela ne signifie pas que je l'ai fréquenté. Beaucoup de mes amis de l'époque le rencontraient, comment faire autrement, il était partout ? Pour Traboulsi idem. Ces types brillants, intelligents, manipulateurs et qui se donnent à eux même l'excuse de rendre service ne font que des victimes consentantes - aux dépends bien entendu des sociétés qu'ils dirigent, politiques ou économiques. Mais nous savons tous tout cela.

Pourquoi faire un parallèle avec le Dabolioutici ? Certains faits sont avérés, prouvés, indiscutables, jugés - comme l'histoire du Samir triste sir. En revanche, certains pensent que le 11 septembre résulte d'un conspiration interne et alignent des arguments qui abondent dans leur sens sans chercher plus loin, niant en bloc ce qui ne leur plaît pas. Ils veulent ignorer que des commissions d'enquête indépendantes et internationales, dont certaines touchent à l'espionnage pur et dur de pays ou d'associations ennemis des USA, ont d'autres arguments venant d'autant - de beaucoup plus d'architectes, d'ingénieurs, de savants, de chercheurs, et qu'il n'y a aucune raison de douter des résultats obtenus massivement par ces gens là, même si certaines choses auraient besoin d'être précisées.
La focalisation sur une destruction contrôlée entre autre pour une présence d'amiante permet d'occulter des données qui sont devenues confidentielles beaucoup plus graves dont on a du faire un secret d'état - car si ces données venaient à s'ébruiter ce pourrait être la panique. Donc on laisse s'installer l'écran de fumée qui réjouit les fanatiques anti américains. Après tout, leurs élucubrations étayées par quelques "scientifiques" en manque de reconnaissance ne font de mal à personne - sinon qu'elles tapent sur le système de gens comme Patton ... ou comme la sœur d'un bicornu.


D'ailleurs il est flagrant de constater que les partisans d'un complot "de l'intérieur" sont tous des anti américains viscéraux ou des alter mondialistes plus ou moins anarchistes ou gauchistes, alors que ceux qui pensent que la théorie officielle, tout en restant sujette éventuellement à discussion, viennent de tous les horizons, pro ou anti américains, pro ou anti Busch, socialistes, musulmans, catholiques, riches, pauvres, noirs ou à pois, du sud ou du nord et tous ces gens là ne sont pas des imbéciles désinformés ou des gens qui ont un intérêt quelconque à soutenir un régime certainement sujet à caution (mais la torture, c'est Busch, pas les Américains).


Cette intervention a reçu l'imprimatur du titulaire du blogue.
Il fait beau.
C'est le matin.
Les culs et les cons sont levés - et lavés - et vais me foutre au soleil...
Beau temps pour les batraciens copulateurs.

Lola se llama la luna a dit…

L'appart' de Jacquo est à un Libanais - mais comme le Libanais est dans un monde meilleur, ça ne gène personne...
Elle est bien bonne ?

Un p'tit coup Papatton Mignon ?
Hips. Bu trop de thé moi.
Droguée à force.

krn a dit…

Lola, tant mieux si ça t'a fait rire, après tout, c'est ton droit, moi c'est tes non-explications vaseuses à mots couverts sur l'amiante qui m'ont fait rire.

Je ne le dirai jamais assez, ce qui
se conçoit aisément s'énonce clairement.

On a trouvé de la thermite en proportion importante dans les poussières du WTC, c'est un fait, pas une supposition.

Maintenant est-ce que ces questions vont te faire rire aussi ?

A qui appartiennent les quantités effrayantes de minuscules fragments d'os humains retrouvés dans de la poussière de béton sur le toit d'un immeuble à 120 m des tours ?

Qu'est ce qui a bien pu arriver aux hommes et aux femmes qui se trouvaient dans les tours pour que tout ce qui subsiste d'eux soient ces petits morceaux insignifiants ? N'auraient-ils pas du se trouver écrasés entre les planchers lors de l'empilage (puisque c'est la théorie officielle) et non être éjectés à plus d'une centaine de mètres, en longueur comme en hauteur ?
Question de cinématique intéressante, non ?

Pourquoi a t-on retrouvé si peu de restes humains dans les décombres ?
Où sont passés des corps des victimes ?

Pourquoi n'a t-on pas retrouvé le mobilier de bureau ou les ordinateurs ?

Quelle genre d'énergie fait fondre l'acier mais laisse le papier intact ?

Qu'est devenue la partie supérieure de la tour avec son antenne après le moment où elle a basculé dans le vide avec un angle que chacun peut voir sur les nombreuses vidéos de l'évènement ?

C'est l'amiante qui l'a "sublimée" en 2 secondes et demie ?
Curieux, car c'est justement la seule partie où il n'y en avait pas, un autre matériaux ayant été utilisé consécutivement au changement de la norme en accord avec le DTU.

Je pourrais continuer longtemps, car des questions, j'en ai de quoi remplir dix pages. Par égard pour mon cousin, que je crois victime de son extrême admiration pour les Etats Unis, je m'arrêterai là.

Alors, je le dis clairement, je suis loin d'être une spécialiste en explosifs, je n'y connais même rien, mais j'ai étudié la résistance des matériaux et la physique pas seulement parce que c'était obligatoire, mais avec passion.

Dénigrer ne sert à rien, Lola, surtout à notre niveau.

Tu n'as pas la possibilité d'avoir une opinion propre, tu te retranche derrière quelqu'un que tu admires sans discuter.

Ce que je te demande, c'est, avant de discuter, de chercher la solution toi-même et non de copier sur ton voisin.

krn a dit…

Patton, effectivement, quelque chose m'a sans doute échappé dans le discours que tu as copié sans en changer une ligne.

Le monde de la politique montre tous les jours ses côtés verreux et profiteurs. Le savoir ne fait pas avancer.

Les castes supérieures de la société, celles qui peuvent s'offir les produits de luxe sans compter et profiter du travail des autres en se dorant la pillule ne m'attirent pas. Les gens en vue non plus.

Je n'ai pas besoin d'argent pour vivre, le minimum me suffit.
Par contre, je tiens comme valeurs essentielles, l'amour, la vérité et le respect.

Le contraire de l'amour, ce n'est pas la haine, c'est la paresse.

Je te remercie du fond du coeur pour avoir été sans le vouloir le vecteur de ma renaissance. Je t'en serai éternellement reconnaissante.

patton a dit…

Toujours pas compris....? TOUTES les turpitudes - comme pour ce Libak- finissent par se savoir ! TOUTES.... capito ? Donc , pour la éniéme fois ....je ne crois pas à la Grrrande Conspiration , ni au silence des Agneaux , vu l'ampleur du probléme ! C'est pas l'affaire Dominici , dans un trou perdu de campagne .

patton a dit…

Libre à toi de clamer tes soupçons ....dans ce cas , crée ton association , réunis tes fidéles , et bouge toi un peu auprés des journalistes Danois ( puisque les autres sont tous muselés ) pour exprimer tes convictions . Peut étre méme que Obama te recevra ? Une Normande qui préfére la Wehrmacht à ces salauds de Yankees - dont j'ai encore vu les tombes à Omaha Beach la semaine derniére - ça va l'intéresser ?

krn a dit…

Ok, j'analyse :

je cite : "TOUTES les turpitudes - comme pour ce Libak- finissent par se savoir ! TOUTES...."

D'accord alors :
Qui était le masque de fer ?
Qui a tué la reine Jeanne, épouse de Philippe le Bel ?
Pourquoi a-t-on emprisonné Rudolf Hess au secret, à vie ?
Que s'est-il réellement passé à Dallas le 22 novembre 1963 ?

je cite : "je ne crois pas à la Grrrande Conspiration"
Croire est du domaine de la foi et non de l'analyse scientifique.

je cite : "C'est pas l'affaire Dominici , dans un trou perdu de campagne ."
Effectivement, c'est capital pour l'avenir du monde, il serait donc peut-être temps qu'on donne à cette affaire l'enquête qu'elle mérite et non juste le rapport d'une commission dont les membres reconnaissent avoir été trompés et n'avoir disposé que de très peu d'informations. (Je te rappelle que le rapport a coûté 10 fois moins que l'enquête très importante et très officielle sur la turlutte de Monica à Bill.)

patton a dit…

Mais ? qu'est ce que tu attend pour créer ton mouvement pour la Vérité ? De plus tu connais déià tes supporters ! ! Y a plus à hésiter ! Vous étes assez nombreux ? non ?

patton a dit…

J'espére bien qu'on ne fera aucune enquéte sur les turluttes dont j'ai bénéficié dans le monde entier !

krn a dit…

"crée ton association"
Tu crois que je t'ai attendu ?
Si tu n'étais pas mon cousin, je te laisserais croupir dans ta crasse ignorance.
Quand à l'ironie sur les tombes de GI, tu ferais mieux de t'occuper de la mémoire de notre oncle Abel, qui lui, n'en a pas eu, de sépulture, car si les Allemands récupéraient leurs morts sur le terrain, les Français, eux, les ont laissés pourrir dans la boue, récupérant juste les plaques d'identité pour attester le décès.
Demande-toi aussi comment sont les sépultures des enfants irakiens.
Aucune cause ne justifie que l'on bombarde des enfants.

krn a dit…

J'espére bien qu'on ne fera d'enquête sur aucune turlutte dont tu as bénéficié !

Lola se llama la luna a dit…

Houlàlà ! Du caaaaalme Papatton. Une tite verveine pour apaiser les humeurs postprandiales ?

patton a dit…

Mais... je suis calme , moi .

patton a dit…

Quant à Abel ? Tu connais mon peu d'intéret pour la famille . Occupe t'en , puisque tu te sens concernée .

Lola se llama la luna a dit…

J'ai ma 3G qui débloque. Je peux pas faire face. Trop de réactions. Donc les voilà ici regroupées et numérotées.

1). Et bé moué, j'aime bien Monica. Une sorte de Vixen brune ? Qu'en pense le spécialiste ?
Les histoires de con en haut lieu, ça détend...

2). Et pis je comprends pas un truc : Oblabla n'apprécie pas du tout son prédécesseur, c'est le moins qu'on puisse dire. S'il a l'ombre d'un soupçon, ça va sortir, et vite. Oblabla ne couvrira pas une manip des Républicains et associés. La preuve : rien ne l'obligeait à sortir l'affaire de la torture (tout à fait condamnable mais encore une fois pas imputable à l'ensemble des Américains), et pourtant il l'a fait. Les règlements de compte à haut niveau, ça n'est pas rare - et les changements de dirigeants sont propices aux enquêtes sur les sujets litigieux et aux révélations.
Alors, en attenant, c'est-y pas qu'on pourrait passer à autre chose ?

3). Au sujet des enfants, là, nous sommes bien d'accord. Surtout quand les terroristes sont d'anciens enfants protégés en leur temps par les pays occidentaux et que ces enfants devenus terroristes comptent bien que ces crétins d'Occidentaux vont continuer leurs délires - ce qui fait que, comme ils sont bien à l'abri, ils pourront gentiment et volontairement (pas de façon hélas collatérale) zigouiller les enfants - Israéliens pour l'instant (c'est excusables, c'est salauds d'Israéliens étant en fait des Occidentaux déguisés) et les nôtres à l'avenir. Ces raisonnements qui partent d'un sentiment généreux c'est vrai me dégoûtent au plus haut point, parce que la guimauve est une gourmandise occidentale pour temps de paix. Beurk. Et je sais ce qu'ont fait les Allemands ici, à côté de chez moi, et qui ils ont tué et qui ils ont torturé, et dans ma propre famille, et ça, ce n'est pas du sentiment ni du "on dit".

4). Une enquête au sujet...
Ouiiii !
Moi j'aime les enquêtes comme ça. C'est super. Des affaires bien juteuses pour passer le temps, se changer les idées. Une enquête ! Une enquête ! Une enquête !...

Lola se llama la luna a dit…

Bon. On peut passer à autre chose maintenant, oui ?
Ça devient chiant ces histoires à la noix du W (Très)C. Ça pue, comme toute exploitation tendancieuse d'un drame que chacun veut analyser sans en savoir grand chose d'autre que des déductions personnelles et subjectives.

Quand ce sera calmé je reviendrai. M'en vais voir mes poules. Salut.

krn a dit…

La dictature, c'est "ferme ta gueule", la démocratie, c'est "cause toujours".
Jean Louis Barrault.

krn a dit…

Patton, ça fait 4 ans que j'ai commencé à m'intéresser à Abel.
A cause d'une phrase toute con de mon père : "Abel, il s'est fait tuer au début de la guerre et personne ne sait rien."

Abel a été déclaré "mort pour la France, tué à l'ennemi" le 10 février 1921 par le tribunal de Montdidier.
Jugement intervenu en l'absence de corps, deux témoins ayant attesté qu'il était tombé lors de l'offensive du 10 novembre 1914.
Sa plaque, portant le matricule 07616, avait été collectée par un survivant avec de nombreuses autres. Le nombre total de morts de cette journée dépassant les 50.000, beaucoup de cadavres n'ont pas été identifiés.
Un certain nombre a été inhumé. Beaucoup ont disparu lors de l'inondation de l'Yser.

krn a dit…

"Une effroyable mêlée, un enchevêtrement inextricable d'hommes qui luttent en désespérés...

On se bat à la baïonnette, à coups de crosses, à coups de pierres, à coups de poing..."

Extrait d'un témoignage sur la journée du 10/11/1914 sur le front de l'Yser.

La Wehrmacht ? j'espère que ce n'est pas sérieux, sinon, c'est du même tabac que la Gestapo d'Albanel.

Tout le monde a des personnes tuées par les Allemands dans sa famille, Lola, y compris les Allemands eux-mêmes.

Ici, en Normandie, ce sont les Américains qui ont tout bombardé et fait le plus de victimes parmi les civils et on trouve encore des bombes américaines énormes qui n'ont pas explosé partout. Dans la campagne, dans la forêt, en ville.

Alors, maintenant, ils peuvent revenir faire les fanfarons sur les tombes de leurs soldats. Ils oublient de rendre hommage aux civils français massacrés.
A Barc, entre autres, Charlotte Villain, 14 ans.

krn a dit…

Je cite : "exploitation tendancieuse d'un drame que chacun veut analyser sans en savoir grand chose d'autre que des déductions personnelles et subjectives."

Lola, voudrais-tu me dire ce qu'il en est de l'objectivité ?
Tu es la première à mettre ta famille en avant pour légitimer une revanche.

Quant aux déductions, elle ne peuvent être que personnelles, sinon, elles n'ont aucun intérêt, ça devient du copié-collé.

Par contre, je réfute le mot "exploitation"- je ne tire aucun bénéfice de cette croisade pour la vérité - ainsi que le mot "drame" qu'il convient de remplacer par "fait de guerre".

krn a dit…

Ceci dit, Patton, j'ai déjà sérieusement envisagé de partir vivre au Danemark si la démocratie française ne se ressaisit pas.

patton a dit…

3éme jour de Liberté , apres la publication de ce post . Aucune perquisition , personne dans mon rétroviseur , connexion Internet normale, pas de GIGN dans ma rue ? Ben quoi ? qu'est ce que c'est que cette dictature laxiste ! Les Milices ne sont plus ce qu'elles étaient . Maréchal ? Vous..voilà ?..

Lola se llama la luna a dit…

Le Maréchal et sa trique, chais pas mais MOUÉ chuis là. Attention, j'ai un bâton (pour les moutons et les bêtes à corne).

Lola se llama la luna a dit…

Moi je suis à cent pour cent pour la théorie du complot : on m'en veut. Je le sais. C'est prouvé. En effet, je batifole ici même avec un (gros ?) cochon à tendance ouvertement (très) lubrique et on veut briser notre merveilleuse romance (y'a des jaloux partout) ; j'ai eu beau tenter de détourner l'attention des services secrets (qui me surveillent à cause du bicornu) en l'appelant "mon Limaçon Mignon", ça n'a pas marché - ou bien il y a eu des fuites.

Courage mon batracien adoré - ta grenouille poitevine qui pense à toi.

patton a dit…

4éme jour de liberté aprés la publication de mon post . Pas réveillé à 6h du matin par la Brigade de protection des Libanais ( adipeux ) , pas poursuivi cette nuit sur l'autoroute ( faut dire que j'ai des bourrins sous l'capot ) , pas d'hélico ( c'est un cabriolet , j'laurai vu ) , Mais....qu'est ce que c'est que cette dictature ??? On ne se sent pas en Insécurité ! Que fait la Police ?

krn a dit…

Vu la propagande que tu fais en faveur des crimes sionnistes et étatsuniens, ils ont intérêt à te laisser tranquille.
Ce n'est pas le cas de tout le monde. Et tu ne va pas me dire que c'est normal dans un pays civilisé. ça m'est arrivé aussi et on m'a demandé si je faisais des messes noires chez moi. Les fous ne sont pas où on croit.

Lola se llama la luna a dit…

Il n'y a pas qu'au Royaume de Danemark qu'il y a quelque chose de pourri...

krn a dit…

Un universitaire anglais a dressé une "Carte mondiale du bonheur" des peuples et c'est le royaume du Danemark qui, loin d'être pourri comme le disait Shakespeare, a décroché la palme.
C'est le pays où les gens se sentent les plus heureux.

Cette étude rendue publique par Adrian White, psycho-sociologue à l'université de Leicester, est fondée sur l'analyse des données publiées par l'Unesco, la CIA et l'OMS.
Cinq critères ont été retenus : santé, richesse, éducation, sens de l'identité nationale et beauté du pays.
Les frustrations de la vie ordinaire comptent peu par rapport au niveau d'éducation, à l'accès aux études ou au revenu par personne.

Dans ce palmarès, la Suisse et l'Autriche suivent le Danemark, tandis que les Etats-Unis arrivent en 23e position, l'Allemagne en 35e, le Royaume-Uni en 41e et la France en 62e.
Trois pays ferment la marche : La République Démocratique du Congo, le Zimbabwe et le Burundi.

Personnellement, je me suis toujours sentie très à l'aise au Danemark. Les Danois, contrairement aux français, ne sont pas des râleurs nés et les fonctionnaires, que ce soit les impôts ou la police ne les prennent pas sytématiquement pour des gangsters.

patton a dit…

Ma petite Siréne . Dis le vite aux immigrants clandestins ...ils se trompent de pays ! Tous à Copenhague !

patton a dit…

Y a des LIBAKS là bas ? Si y'en a pas , j'y vais aussi .

krn a dit…

La seule contrainte est de parler le danois, et ce n'est pas si facile que ça en a l'air.
Si tu ne parles pas danois, tu ne reste pas.
Personne ne t'expulse mais tu n'as aucun moyen de travailler, ni de recevoir de l'argent de l'état ou d'organisation caritatives, alors... ben, tu t'en vas en France où tout ça marche très bien.

Lola se llama la luna a dit…

J'ai gardé comme ami un photographe danois marié à une Danoise du Danemark. Il était Danois du Danemark aussi mais très brun - sa famille était restée au Danemark à l'époque des empires - l'Espagne, tout ça... Et bé les deux avaient choisi la France et ils y sont définitivement restés - marre du Danemark. Ils vont voir la famille de temps à autre, mais le plus souvent c'est la famille qui vient - peut-être que la distance est plus courte dans un sens que dans l'autre ?
Bref, comme partout, on est bien, à condition... de s'y sentir à l'aise. Le danois n'est pas plus difficile à apprendre que le français, le choix d'un pays d'asile dépasse le critère de la langue, sinon, que font en Europe les Extrêmes-Orientaux ?
On pourrait se poser la question effectivement "pourquoi choisir la France puisque c'est bien mieux ailleurs ?" Mieux pour certains sans doute, mais (hélas) pas pour la majorité.

Quant au régime policier... Par deux fois j'ai été inquiétée par la police, sur dénonciation anonyme. Où ? Dans un village des Deux Sèvres. Quand ? Sous le règne de Tonton devenu Dieu. C'est alors que j'ai eu l'occasion de remercier les services secrets qui m'avaient à l'œil, bicornu perso oblige, et qui ont eu vite fait d'affirmer... que je n'avais rien fait !

Lola se llama la luna a dit…

J'ai rien à rajouter, mais je lis ici des lettres tordues sensationnelles qui vont beaucoup plaire - donc je ne résiste pas : FROTTONS !!!

krn a dit…

Lola, pourquoi tout le monde va en vacances dans le sud alors que le nord est si beau ?

Il y a toujours de gens pour qui l'herbe est plus verte dans le pré d'à côté.

J'ai travaillé au Danemark, avec d'autres Français, je suis la seule qui avait envisagé d'y rester, et à l'époque ce n'était pas une question de surpression politique, c'est parce que j'étais tombée amoureuse de ce pays.

Lola se llama la luna a dit…

Cousine, je sais que les paysages du nord sont superbes. Le fait est qu'il existe de belles régions sous toutes les latitudes. Cependant il faut bien avouer qui si l'on fuit la pluie, les nuits d'hiver trop longues et les températures parfois à peine tièdes l'été, surtout si toute l'année ont est astreint à la chaîne toute la semaine et que le dimanche où l'on voudrait aller prendre l'air il fait un temps affreux... Et bien les régions plus chaudes sont les bienvenues ! Soleil garanti tout l'été !

J'aimerais assez retourner vivre à Londres, je me plaisais beaucoup en Angleterre... Mais franchement, la nuit qui est déjà tombée à cinq heures, parfois plus tôt quand il y a du brouillard, et ce plus de deux mois par an... Hyde Park a beau être superbe... Non, vraiment, j'en frissonne rien que d'y penser. Bien sûr, toi tu n'aimes pas la chaleur. Pour moi qui commence à vivre quand il fait vingt degrés à l'ombre et à m'activer un peu quand le mercure est à trente... Je dois être un animal à sang froid !

Pat Pat, mon Mignon Limaçon, quand partons-nous tous deux sous les tropiques ???

patton a dit…

Dés que vous ..... votre ....

patton a dit…

Au Concile de Trente ...

patton a dit…

J'attends ! Mort aux Cons !

patton a dit…

A plus de 25 degrés ( celsius ) , passez moi une photo ! Libidineuse !

Lola se llama la luna a dit…

Ils étaient combien au Concile de Trente ?

Parce que, passé 25, faut mettre une petite laine - ça protège super bien (sauf les cons, mais je n'avais peut-être pas besoin de le préciser...)

krn a dit…

tiens, voilà de quoi t'occuper pendant tes vacances.

patton a dit…

3 me suffiraient . J'ai 2 mains et une Bouche .