Il va falloir admettre que nous sommes bien en Démocratie , avec la Liberté d'opinion .... comme en IRAN , à CUBA , en COREE du Nord , en ARABIE SAOUDITE , au YEMEN , au ZIMBABWE ,en BIRMANIE, etc...
et je me fous de ce Barbu , autant que tu te fous d'Omaha Beach . ça ne m'intéresse pas plus que toi envers ce site . EUX , ils sont morts , le Barbu , lui , il touche son traitement de Fonctionnaire , et peut prendre son "Ricard " Gare d'Austerlitz.....
et puis , il peut s'exiler sur les Iles Anglo-Normandes comme Victor Hugo , ou méme aller à COPENHAGUE ( 1 heure d'avion , ou 8 heures de route , un peu plus en Vélo ) .
On interdit à un professeur, Français, de l'université Paris 8, l'accès, théoriquement libre au jardin des plantes, où il a un cours à faire sur la biodiversité et l’origine de la protection des espèces et des espaces, à cause de ses opinions politiques et ce n'est pas une atteinte à la liberté ?
Ce n'est pas une question de personne et tu n'as pas eu le temps de lire l'article. Je pose la question : On est toujours en démocratie ?
Elle est où la liberté d'opinion ?
Bienvenue en République Soviétique Sarkocratique !
S'exiler ? mais bien sur ! Pourquoi pas conduit à la frontière avec tous les mecs un peu bronzés dont on fait des charters à tour de bras ? Je ne sais pas si tu saisis bien les implications de ce que tu écris.
Tes allongés là-bas, ils sont morts. Pourquoi ne vas-tu pas à Verdun ? il y a de quoi faire.
Moi, je pense aux vivants, à mes enfants, français, qui vont être obligés de se battre pour vivre et respirer normalement.
Chére Cousine , je connaissais parfaitement avant ce post, l'histoire de ce Prof barbu crapoteux . Comme toujours , tu en fais une présentation "gauchie et Saint Sébastinienne " ... pour faire pleurer dans les chaumiéres . Les choses sont légérement différentes , si tu connaissais vraiment le contexte....du méme genre que se cacher derriére un rideau à l'Assemblée , là c'était : je fais cour en plein air ...et HOP ! , je sors mes banderolles ... C'est de " l'Entrisme TROTSKYSTE " , un vieux truc qui sert toujours .
8éme jour de liberté , je respire toujours correctement , mes enfants aussi ( j'ai vérifié par téléphone ) , malgré tout ceux qui me pompent l'air , l'air de rien . Néammons , je reste vigilant , j'attends la Milice d'Attila .
Bonne question ! L'acte est il un fait ? La réciproque est elle vérifiée ? Vous avez 3 heures . Question subsidiaire : Un gardien de square peut il étre un Tyran ? Peut on embastiller un casse-bonbon ? Pourquoi ne fait il pas cour au Zoo de Vincennes ?
Et bien la voilà la pirouette. je ne l'ai pas attendue longtemps.
Je reformule puisque tu ne peux pas saisir la finesse de mon propos :
Peut-on condamner une personne avant qu'il y ait eu crime ou délit ?
Y a-t-il une quelconque preuve que ce prof et ses étudiants avaient "l'intention" (je souligne expressément ce mot)de manifester ?
Va-t-on bientôt voir les tribunaux remplis de prévenus qui auraient eu l'intention de se procurer une arme dans l'intention de tuer le premier qui aurait eu l'intention de lui piquer la femme qu'il aurait eu l'intention d'épouser ?
En tout cas , la Finesse Juridique t'échappe aussi complétement ... Il n'y a AUCUNE poursuite juridique , judiciaire , ou autre ... évidemment , puisqu'il n'a commis aucune infraction ! Il a seulement été refoulé par un gardien de square ... la belle affaire...! Sonne le tocsin !
Je ne doute pas que -dans le large éventail de tes certitudes - tu vas aussi m'apprendre le Droit Français ? Personnellement , je ne me hasarde pas dans les sujets qui m'échappent . Je reste prudent , méme dans le domaine du renseignement , que j'ai pourtant cotoyé dans ma profession . Tu nous as manqué , Cousine ! avec toi , pas besoin de correspondants , tu sais tout sur tout .
Bon. A mon tour de mettre les pieds dans le plat avec une question toute bête : qui sait quoi de cette affaire, et celui qui sait quelque chose comment le sait-il ? C'est une simple question.
En attendant, ici, chez moi, dans mon jardin, il se passe des choses très graves qui requièrent toute mon attention : mon cerisier est plein de cerises - encore vertes, certes, mais cerises vertes vont rougir et zozios gourmands vont venir. Je fais le guet, d'est en ouest et du nord au sud - autrement dit je tourne autour de l'arbre aux fruits convoités, et ça, c'est un rude boulot.
Alors, les singes improductifs des jardins parisiens... Y zont ka aller planter des choux, ils serviront au moins à quelque chose.
Quel boucan ici, toute la journée, tous les jours, et toutes les nuits. Un peu de paix ce matin durant la sonnerie aux morts, maladroite mais pleine d'émotion - je suis aux premières loges pour le solo, le cimetière est juste en face de la maison. Les braves gens suivent en silence les bannières, une façon pour eux d'être encore un peu avec ceux de leur famille disparus trop tôt. Tout le village participe, et moi, dans ma cour, je reste plantée, silencieuse, au garde à vous, le temps triste de la sonnerie...
Sinon, c'est bruyant ici, comme seule la campagne sait l'être. En ville, la nuit, on perçoit un murmure résiduel avec parfois une voix brève d'ivrogne en retard d'une chopine ou un vrombissement de moteur énervé.
Ici, la basse cour avec ses coqs et ses dindons, ce n'est rien. Les oiseaux en revanche piaillent à qui mieux mieux et leur choeur n'est pas toujours harmonieux ; leurs voix ne sont pas fondues mais toutes bien distinctes et à l'instant encore un corbeau jette son cri du haut du ciel. Par moment les grenouilles des mares environnantes ou de la rivière voisine se lancent dans de véhéments discours qu'en cette saison on peut croire amoureux. Et la nuit... Ah ! La nuit... Quand tout repose... Devant ma fenêtre est un marronnier, et dans ce marronnier loge un rossignol ; ce rossignol discute avec le rossignol du pommier et avec celui du chêne. Ma fenêtre est au centre de ce triangle aussi infernal qu'équilatéral...
Ah... La vie reposante de la campagne profonde ! Loin de la guerre, loin des morts, loin des grèves, loin des squares parisiens, loin des brasseurs de finance, loin des excès en tous genres, loin du monde, loin de tout...
Comment ça ? Ne m'en veux pas, Cousine, mais j'ai du mal à imaginer Papatton en prof barbu refoulé du square... Qu'avait-il fait de son cigare à cette occasion ? Ou alors, c'était avant Jésus Christ. Ou bien dans une autre dimension... Tout est possible !
J'aimerais que les oiseaux pensent à moi autant que je pense à eux. Le cerisier est assez important pour contenter tout le monde. Je demande simplement que les branches du bas me soient réservées, rien d'autre. Malheureusement, ils ont maintes fois prouvé qu'ils ne l'entendaient pas de ce bec ! Et comme d'habitude la victoire sera pour eux - je n'ai pas le coeur de les chasser...
Ce n'est pas tant sa barbe touffue et mal soignée , que le fait qu'il portait des bas à résilles et des portes jarretelles qui a choqué le gardien du square .ça il ne s'en vante pas .
Pour vos cerises ,ma Lolita écolo , 2 solutions : Me laisser venir en char Patton , je tire un coup de canon sur le cerisier et crac... ou proposer à Aschieri de faire ses manifs autour , en gueulant qu'ils veulent plus bosser pour des queues de cerises . Les 2 solutions sont efficaces . Personnellement , je préférerai tirer un...@@@!!!
8éme jour que j'suis devant chez moi avec les lunettes de soudeur et la corde au coup , dans l'attente des gars d'ATTILA SECURITY and ASSETS (au beurre ) ;....RIEN , ne se passe ? C'est quoi ce BINNNZZZ ?
VOTRE ATTENTION S'IL VOUS PLAÎT. Notre ami Patton ne donne plus signe de vie. Compte tenu des éléments en notre possession nous avons le regret de vous annoncer qu'il est à l'heure actuelle "au secret" et enchaîné dans une sinistre geôle souterraine insoupçonnable. Il y a été transporté par un objet volant non identifié dont tout le voisinage a pu constater que c'était un nouvel hélicoptère furtif indétectable et top secret qui a trouvé là un bon moyen de prouver son efficacité d'invisibilité. Les rares témoins refusent de s'exprimer ouvertement mais affirment que Patton était "ficelé comme un saucisson"(sic) et qu'on lui avait mis un sac sur la tête. Ses ravisseurs étaient des femmes, blondes et assez plantureuses pour la plus part, vêtues de corselets de cuir noir et portant les hautes bottes noires qui sont l'uniforme de leur service spécial. À l'heure actuelle, nous ne savons pas quand notre ami Patton sera libéré, ni même s'il pourra encore s'exprimer librement comme il a pu le faire jusqu'à maintenant, au péril de sa liberté et de sa vie. En ce dimanche de Mai, ayons pour notre ami une pensée émue.
Ne serions nous donc pas dans une Dictature ?... Alors ? ....
29 commentaires:
Il va falloir admettre que nous sommes bien en Démocratie , avec la Liberté d'opinion .... comme en IRAN , à CUBA , en COREE du Nord , en ARABIE SAOUDITE , au YEMEN , au ZIMBABWE ,en BIRMANIE, etc...
En Poitou ?
C'est dur à reconnaitre .....mais nous sommes toujours dans un pays de Liberté . Etonnant ? non?
Malheur aux Barbus . Moi ça passe trés bien , je suis glabre .
et je me fous de ce Barbu , autant que tu te fous d'Omaha Beach . ça ne m'intéresse pas plus que toi envers ce site . EUX , ils sont morts , le Barbu , lui , il touche son traitement de Fonctionnaire , et peut prendre son "Ricard " Gare d'Austerlitz.....
et puis , il peut s'exiler sur les Iles Anglo-Normandes comme Victor Hugo , ou méme aller à COPENHAGUE ( 1 heure d'avion , ou 8 heures de route , un peu plus en Vélo ) .
On interdit à un professeur, Français, de l'université Paris 8, l'accès, théoriquement libre au jardin des plantes, où il a un cours à faire sur la biodiversité et l’origine de la protection des espèces et des espaces, à cause de ses opinions politiques et ce n'est pas une atteinte à la liberté ?
Ce n'est pas une question de personne et tu n'as pas eu le temps de lire l'article. Je pose la question :
On est toujours en démocratie ?
Elle est où la liberté d'opinion ?
Bienvenue en République Soviétique Sarkocratique !
S'exiler ? mais bien sur !
Pourquoi pas conduit à la frontière avec tous les mecs un peu bronzés dont on fait des charters à tour de bras ?
Je ne sais pas si tu saisis bien les implications de ce que tu écris.
Tes allongés là-bas, ils sont morts. Pourquoi ne vas-tu pas à Verdun ? il y a de quoi faire.
Moi, je pense aux vivants, à mes enfants, français, qui vont être obligés de se battre pour vivre et respirer normalement.
Et c'est reparti... Délirant. A Caen les vacances ?
Chére Cousine , je connaissais parfaitement avant ce post, l'histoire de ce Prof barbu crapoteux . Comme toujours , tu en fais une présentation "gauchie et Saint Sébastinienne " ... pour faire pleurer dans les chaumiéres . Les choses sont légérement différentes , si tu connaissais vraiment le contexte....du méme genre que se cacher derriére un rideau à l'Assemblée , là c'était : je fais cour en plein air ...et HOP ! , je sors mes banderolles ... C'est de " l'Entrisme TROTSKYSTE " , un vieux truc qui sert toujours .
8éme jour de liberté , je respire toujours correctement , mes enfants aussi ( j'ai vérifié par téléphone ) , malgré tout ceux qui me pompent l'air , l'air de rien . Néammons , je reste vigilant , j'attends la Milice d'Attila .
et HOP ! , je sors mes banderolles...
Depuis quand juge-t-on les actes avant les faits ? C'est où dans le droit français ?
Comme d'habitude, tu vas éluder la question avec une pirouette ?
Bonne question ! L'acte est il un fait ? La réciproque est elle vérifiée ? Vous avez 3 heures . Question subsidiaire : Un gardien de square peut il étre un Tyran ? Peut on embastiller un casse-bonbon ? Pourquoi ne fait il pas cour au Zoo de Vincennes ?
Et bien la voilà la pirouette. je ne l'ai pas attendue longtemps.
Je reformule puisque tu ne peux pas saisir la finesse de mon propos :
Peut-on condamner une personne avant qu'il y ait eu crime ou délit ?
Y a-t-il une quelconque preuve que ce prof et ses étudiants avaient "l'intention" (je souligne expressément ce mot)de manifester ?
Va-t-on bientôt voir les tribunaux remplis de prévenus qui auraient eu l'intention de se procurer une arme dans l'intention de tuer le premier qui aurait eu l'intention de lui piquer la femme qu'il aurait eu l'intention d'épouser ?
En effet, ça semble être en route.
En tout cas , la Finesse Juridique t'échappe aussi complétement ... Il n'y a AUCUNE poursuite juridique , judiciaire , ou autre ... évidemment , puisqu'il n'a commis aucune infraction ! Il a seulement été refoulé par un gardien de square ... la belle affaire...! Sonne le tocsin !
Je ne doute pas que -dans le large éventail de tes certitudes - tu vas aussi m'apprendre le Droit Français ? Personnellement , je ne me hasarde pas dans les sujets qui m'échappent . Je reste prudent , méme dans le domaine du renseignement , que j'ai pourtant cotoyé dans ma profession . Tu nous as manqué , Cousine ! avec toi , pas besoin de correspondants , tu sais tout sur tout .
Comment peut-on interdire l'accès d'un lieu public à quelqu'un sans qu'un jugement soit rendu ?
C'était bien la question.
Je ne prétend pas savoir, justement, je demande.
Il n'a pas été refoulé par un gardein de square, mais pas des vigiles venus là exprès. Alors je demande :
De qui ces vigiles tenaient les ordres ?
Ne seraient-ce pas les collègues de ceux qui ont donné l'ordre à TF1 de virer Jérôme Bourreau-Guggenheim ?
Bon. A mon tour de mettre les pieds dans le plat avec une question toute bête : qui sait quoi de cette affaire, et celui qui sait quelque chose comment le sait-il ?
C'est une simple question.
En attendant, ici, chez moi, dans mon jardin, il se passe des choses très graves qui requièrent toute mon attention : mon cerisier est plein de cerises - encore vertes, certes, mais cerises vertes vont rougir et zozios gourmands vont venir. Je fais le guet, d'est en ouest et du nord au sud - autrement dit je tourne autour de l'arbre aux fruits convoités, et ça, c'est un rude boulot.
Alors, les singes improductifs des jardins parisiens... Y zont ka aller planter des choux, ils serviront au moins à quelque chose.
C'est tout bète, Lola, il le sait parce que c'est à lui que c'est arrivé.
Le lien que j'ai mis arrive sur son blog, ce n'est pas un ouï dire.
Quel boucan ici, toute la journée, tous les jours, et toutes les nuits. Un peu de paix ce matin durant la sonnerie aux morts, maladroite mais pleine d'émotion - je suis aux premières loges pour le solo, le cimetière est juste en face de la maison. Les braves gens suivent en silence les bannières, une façon pour eux d'être encore un peu avec ceux de leur famille disparus trop tôt. Tout le village participe, et moi, dans ma cour, je reste plantée, silencieuse, au garde à vous, le temps triste de la sonnerie...
Sinon, c'est bruyant ici, comme seule la campagne sait l'être. En ville, la nuit, on perçoit un murmure résiduel avec parfois une voix brève d'ivrogne en retard d'une chopine ou un vrombissement de moteur énervé.
Ici, la basse cour avec ses coqs et ses dindons, ce n'est rien. Les oiseaux en revanche piaillent à qui mieux mieux et leur choeur n'est pas toujours harmonieux ; leurs voix ne sont pas fondues mais toutes bien distinctes et à l'instant encore un corbeau jette son cri du haut du ciel.
Par moment les grenouilles des mares environnantes ou de la rivière voisine se lancent dans de véhéments discours qu'en cette saison on peut croire amoureux. Et la nuit... Ah ! La nuit... Quand tout repose... Devant ma fenêtre est un marronnier, et dans ce marronnier loge un rossignol ; ce rossignol discute avec le rossignol du pommier et avec celui du chêne. Ma fenêtre est au centre de ce triangle aussi infernal qu'équilatéral...
Ah... La vie reposante de la campagne profonde ! Loin de la guerre, loin des morts, loin des grèves, loin des squares parisiens, loin des brasseurs de finance, loin des excès en tous genres, loin du monde, loin de tout...
Hein ? "A lui que c'est arrivé " ???
Comment ça ? Ne m'en veux pas, Cousine, mais j'ai du mal à imaginer Papatton en prof barbu refoulé du square...
Qu'avait-il fait de son cigare à cette occasion ?
Ou alors, c'était avant Jésus Christ. Ou bien dans une autre dimension...
Tout est possible !
J'ai une question pour toi, Lola :
Tu veux garder tes cerises pour toi toute seule, mais qu'en pensent les oiseaux ?
J'aimerais que les oiseaux pensent à moi autant que je pense à eux. Le cerisier est assez important pour contenter tout le monde. Je demande simplement que les branches du bas me soient réservées, rien d'autre. Malheureusement, ils ont maintes fois prouvé qu'ils ne l'entendaient pas de ce bec !
Et comme d'habitude la victoire sera pour eux - je n'ai pas le coeur de les chasser...
Moi, je leur laisse tout, et en remerciement, il viennent chier rose sur ma voiture.
Et ils recommencent, violet, avec les sureaux...
Ce n'est pas tant sa barbe touffue et mal soignée , que le fait qu'il portait des bas à résilles et des portes jarretelles qui a choqué le gardien du square .ça il ne s'en vante pas .
Pour vos cerises ,ma Lolita écolo , 2 solutions : Me laisser venir en char Patton , je tire un coup de canon sur le cerisier et crac...
ou proposer à Aschieri de faire ses manifs autour , en gueulant qu'ils veulent plus bosser pour des queues de cerises . Les 2 solutions sont efficaces . Personnellement , je préférerai tirer un...@@@!!!
8éme jour que j'suis devant chez moi avec les lunettes de soudeur et la corde au coup , dans l'attente des gars d'ATTILA SECURITY and ASSETS (au beurre ) ;....RIEN , ne se passe ? C'est quoi ce BINNNZZZ ?
Les loups ne se mangent pas entre eux.
VOTRE ATTENTION S'IL VOUS PLAÎT.
Notre ami Patton ne donne plus signe de vie. Compte tenu des éléments en notre possession nous avons le regret de vous annoncer qu'il est à l'heure actuelle "au secret" et enchaîné dans une sinistre geôle souterraine insoupçonnable. Il y a été transporté par un objet volant non identifié dont tout le voisinage a pu constater que c'était un nouvel hélicoptère furtif indétectable et top secret qui a trouvé là un bon moyen de prouver son efficacité d'invisibilité. Les rares témoins refusent de s'exprimer ouvertement mais affirment que Patton était "ficelé comme un saucisson"(sic) et qu'on lui avait mis un sac sur la tête. Ses ravisseurs étaient des femmes, blondes et assez plantureuses pour la plus part, vêtues de corselets de cuir noir et portant les hautes bottes noires qui sont l'uniforme de leur service spécial. À l'heure actuelle, nous ne savons pas quand notre ami Patton sera libéré, ni même s'il pourra encore s'exprimer librement comme il a pu le faire jusqu'à maintenant, au péril de sa liberté et de sa vie.
En ce dimanche de Mai, ayons pour notre ami une pensée émue.
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